Ma première fois ,mon premier amour , je ne saurai vous le dire !

On a hate que les vacances arrivent, surtout quand on était gamins : trainer du matin au soir et ne faire que des conneries . Nous habitions une petite ville dans le sud , et vacances signifie aussi arrivée des amis et cousins des grandes villes , souvent pour nous montrer les nouveautés ... XD
Comme chaque vacance , appelons le " e " venait passer quelques jours chez son cousin qui était nos cousins . . Il était metis , souriant et trés gentil . On s'amusait du matin au soir , on se promenait, , on avait tous a peu prés 1O ans , et comme tous le gamins on apprennait à fumer , à boire ...
Je sentais que "s" me pretait de plus en plus attention et était souvent un peu trop prés de moi dans la journée .
Puis une fois, tard dans la soirée, quand tous les potes étaient partis , il était toujours là ; il m'avait appelé en m'invintant qu'il lui restait une cigarette .
Une maison abandonnée nous servait de cabane , de cachette ... puis arrivé là, il commençait à me faire des avances , a me dire des mots doux , à me convaincre .
Je lui refusais , parce qu'on nous scochait cela dans la tete à la télé , qu'une relation entre hommes donnait plus de risque au sida .
Je lui disais non, parce que je ne connaissais pas , mais pourtant au fond de moi , je savais que je voulais .
Puis il était devenu Mon copain , il m'appelait "cheri" ; en ces temps la , j'étais plus timide , pourtant il était plus jeune que moi , mais il menait , heureusement sinon y aurait rien eu .
Je trouvais cela tellement mignon , lorsqu'il se précipite pour me faire un bisou sur la bouche dés que nos potes et cousins se retournent .
Une petite aventure de jeunesse qui m'accompagnait toute ma vie . Je me souvenais , tous les matins , je guettais sa présence de la fenetre et en meme temps me préoccupait de ce que j'allais mettre .
Puis les vacances prenaient fin, et cela s'est arrété, brusquement pour moi , avais je regretté de pas m'y mettre à fond , de lui avoir fait croire que je ne voulais pas .
Les mois suivants, on avait emmenagé à la capitale et lui aussi , on se rencontrait rarement mais j'avais de ses nouvelles via mes cousins .
Mais plus on grandissait , moins on avait la chance d'en reparler ou de s'en rappeler , vue que lui , ils les a oubliés, c'est ce qu'il me laissait croire . on discutait comme deux potes en se demandant juste nos nouvelles .
Au fond de moi, j'avais une rage que je ne saurai expliquer :
lorsque que je le voyais avec mes cousins motivés pour aller draguer ,

et chacun avait sa vie et chacun son chemin
quinze ans plus tard on s'est croisé ... comment ? pourquoi ?

la suite dans l'article suivant .